Agenda formations Communication NonViolente®

Région Parisienne

Pas de nouvelles formations « tout public » en région parisienne,
Anne-Marie interviendra essentiellement en milieu professionnel, pour accompagner les équipes à
« mieux communiquer pour mieux coopérer ».

L'institut mutualiste montsouris
COOP CNV

Région Niçoise

[STAGE COMPLET]

INTRODUCTION A LA CNV – OUVERTURE AU DIALOGUE – PRATIQUE DU DIALOGUE

PROGRAMME

La découverte des bases de la CNV vous est proposée ici en 6 journées, deux sessions de 3 jours.

Vous bénéficierez de la richesse d’un groupe suivi sur 6 jours, au sein duquel vous pourrez expérimenter chaque apprentissage dans la confiance et la sécurité.

Découvrir et pratiquer la notion fondamentale de besoin humain et nos mécanismes de fonctionnement, vous permettront de mieux vous comprendre, de prendre du recul et d’identifier ce qui favorise ou entrave la relation.

La pédagogie alterne échanges en grand groupe et exercices en petits groupes, théorie et mises en situation, sur la base d’exemples apportés par les participants ou la formatrice.

 

JOURS 1, 2 ET 3 :  les 21, 22 et 23 octobre 2023

  • Se relier à l’intention de la CNV
  • Repérer dans nos habitudes de langage ce qui favorise ou détériore la relation
  • Découvrir les bases du processus de la CNV
  • Savoir s’écouter et clarifier ce qui se passe en nous
  • Les 4 manières de vivre un message difficile à entendre, et la notion de choix
  • Repérer nos habitudes lorsque nous écoutons l’autre
  • L’introduction au dialogue

 

JOURS 4, 5 ET 6 : les 25, 26 et 27 novembre 2023

  • Approfondir l’auto-empathie,
  • Pouvoir écouter l’autre avec empathie
  • Se relier à notre intention avant d’entrer en communication,
  • S’exprimer avec authenticité,
  • Etablir un lien en formulant une demande,
  • Pouvoir dire ou entendre un non, en nourrissant la relation,
  • Exprimer un merci ou une appréciation.

 

Lieu : Villeneuve Loubet, Alpes Maritimes

 

Inscription

https://catalogue.lacoopcnv.com/formateur/31/anne-marie-tandetnik

Communication non violente

Voulez-vous faire un test ?

Lors de votre prochaine réunion professionnelle, commencez par un tour de table où chacun raconte, en une ou deux minutes chrono, une chose qui s’est bien passée, un moment qu’il ou elle a particulièrement apprécié au cours des 2 ou 3 derniers jours.

Vous verrez des sourires sur les visages de vos collègues ou collaborateurs et transformerez l’ambiance de tout ce qui suivra.

*Vous trouverez cette illustration, et bien d’autres, sur le site www.apprentie-girafe.com

Communication non violente

J’entends souvent en formation les participants demander qu’on puisse s’écouter « sans jugements », et je vois régulièrement des personnes qui s’en veulent de juger…

J’ai découvert que le jugement est humain, que c’est notre premier mouvement, et que notre cerveau reptilien, siège de nos vieilles mémoires, fait que nous jugeons à la vitesse de l’éclair, c’est notre instinct de survie… représenté ici par le chacal (selon Marshall B. Rosenberg, père de la CNV).

Avec cette découverte, la Communication Non Violente m’a permis de ne plus craindre les jugements, ni les miens ni ceux des autres. Cela me permet de ne plus prendre jugements ou critiques contre moi. Quel confort me direz-vous !

Alors comment ça marche ?

Nos jugements nous indiquent ce qui est important pour nous, ils parlent de nos valeurs, de nos besoins, ils nous alertent sur le fait que ce qui est en train de se passer ne nous va pas, et mettent ainsi en évidence ce que nous aimons vivre, nos préférences.

Un exemple : si je dis à une collègue de travail en pleine réunion : « c’est insupportable ta façon de prendre la parole tout le temps, tu es une vraie pipelette ! »
C’est juste que je n’en peux plus et cette phrase est ce qui me vient en premier.
Au fond, de quoi me parle ce jugement ? il parle peut-être de rythme, de place à laisser à l’autre, d’équilibre …

Et si j’entends une amie me dire « tu es une sacrée lâcheuse, tu ne m’as jamais appelée pendant les vacances »
Dois-je le prendre contre moi ? ou entendre que je lui ai manqué, et que son besoin d’attention, ou d’amitié, ou de complicité n’a pas été comblé ?

Derrière chaque jugement se cache un besoin. Le secret, pour préserver la relation, est donc de transformer le jugement en expression d’un besoin.
Facile ? Pas toujours ! cela demande un peu d’entrainement, et c’est notamment ce que nous expérimentons dans les stages de Communication NonViolente.

*Vous trouverez cette illustration, et bien d’autres, sur le site www.apprentie-girafe.com